Femme Bcbg, Escorte, Non, Pute… (143)

C’est fait, nous sommes au matin du lendemain de l’anniversaire de Katia, la petite a assuré, en se faisant enlever son pucelage, elle devient certainement l’escorte ayant gagné le plus de fric en une seule nuit.
Même si les jumeaux ont payé une somme astronomique, l’organisation fera venir de tous les coins du monde de petites sommes pour tromper la vigilance des services financiers français qui traquent le blanchiment d’argent surtout venant de Russie.
Je me lève les deux filles dormant et Igor aussi, Marie-Ange a encore sa bite en main, il est si bien monté qu’il faudrait deux mains pour la cacher au repos.
Que dire si elle bandait !
Je récupère les clefs dans le tiroir et j’ouvre les menottes, je sors de la chambre, je suis nue, je récupère mon tailleur et mes chaussures.
La première porte que j’ouvre est celle de la chambre où Ophélie s’est donnée à Miroslav, elle brille par son absence, je devrais dire, ils brillent par leur absence, sur le lit une feuille posée des bons hôtels à l’en-tête.

« Christine, j’accompagne Miroslav jusqu’à son entreprise, il a des problèmes de piratage dans son système informatique, je serais à l’heure à l’avion de retour pour Paris. Ophélie, merci pour ce beau voyage, je t’aime. »

Un peu anxieuse, je quitte la chambre et je reviens dans la chambre d’Igor, je le secoue, il ouvre un œil et veut m’attirer à lui.

• Je vois que tu es réveillé et que tu m’as détaché, quelle nuit, tes deux tigresses se sont relayées pour me vider les couilles comme tu me l’avais promis, surtout Marie-Ange.
J’ai eu quelques blacks dans ma vie, bien que cette couleur de peau soit rare à Moscou, mais en aspirateur de bite, elle est championne du monde, elle t’a déjà sucée, qu’en penses-tu ?
• Que du bien, mais je ne sois pas là pour te parler de la bouche gourmande de mon amie, regarde !

Je lui tends la feuille, regarde, prends son téléphone, compose un numéro et écoute, j’entends la sonnerie qui tourne jusqu’à ce qui doit être le disque prévenant que le correspondant est absent, il raccroche, recompose un numéro et parle dans sa langue avant de raccrocher.



• Miroslav ne répond pas, j’ai eu son disque, j’ai appelé un de mes adjoints qui va aller chez lui voir ce qui se passe.
Sache seulement que c’est un homme en qui j’ai toute confiance, il m’a parlé l’autre matin qu’il avait peur d’être piraté, il voulait trouver un spécialiste en informatique.
Ta petite a des connaissances dans ce domaine.
• Elle va retrouver son école d’informatique de Paris, il semble qu’elle ait un don pour ces boîtes dont je dois reconnaître ne rien connaître.
• Je constate que tu es plus doué pour amener les filles au tapin que pour l’informatique.
• Traite-moi de maquerelle pendant que tu y es.

C’est notre première scène de ménage, si tenté qu’un jour, je me mette en ménage avec lui.

• Calmons-nous, s’il te plaît, tu es là si peu longtemps et si rarement pour que j’évite que nous ne nous disputions, mon sbire va nous rapporter des informations rapidement.
• Je vais voir Katia et les jumeaux, qu’est-ce que vous avez prévus avec Virginie pour aujourd’hui ?
• Café Pouchkine pour retrouver Nathalie, Virginie et Vladimir, nous rejoindrons, ils souhaitent retourner au restaurant « Le Yar » au décor et à l’ambiance typiquement russe.

Je pourrais lui en dire long sur le restaurant ou ne perdant pas le Nord, elle a proposé à Vladimir de le sucer dans les toilettes, ce couillon a foncé à un distributeur, mais les choses ont bien tourné, car ils vont avoir un bébé.

• C’est d’accord, bon programme, je vais voir Katia, si tout continu bien au moins dans cette chambre.

Je reprends le couloir, la porte n’est pas fermée à clef, les jeunes sont à nouveau dans la salle insonorisée, je m’assieds devant le pupitre où il est possible d’enregistrer des C.D. avant de les faire éditer en grand nombre.
Il y a un casque me permettant après que je l’ai réglé d’entendre clairement le morceau qui se joue dans la pièce insonorisée.
Je ne connais pas grand-chose en musique, mais les sons sonnent juste et mérite mon attention, jusqu’au moment où Katia lève la tête et me remarque, arrêtant de jouer.

Les garçons me voient et quittent la salle sur les talons de ma filleule qui arrive sur moi comme une fusée.

• Christine, c’est fait, les garçons m’ont enlevé mes pucelages, j’ai même joui, je suis ton égale dans ce domaine du sexe.

Je manque de lui dire que j’aie vu les garçons la prendre sous son injonction, mais pourquoi prendre le risque de passer pour une voyeuse alors que ma simple intention était de la protéger.
Perdre son pucelage pour une jeune fille est une étape, je me souviens de ma nuit de noces où j’ai perdu mon hymen sans n’avoir jamais vu le sexe de celui qui devenait mon mari.
Il a fallu que je devienne une escorte pour m’apercevoir que celui qui par la suite, j’ai appelé petite bite en avait une bien inférieure à la moyenne des autres.
J’ai souvent entendu qu’il en valait mieux une petite vigoureuse qu’une grande fainéante, mais j’avais tiré le gros lot, elle était petite et fainéante.

• Je suis heureuse pour toi ma Katia, je suis heureuse que ce soit bien passé, messieurs merci pour ma filleule, elle a eu la chance de tomber sur des gentlemen !
• Nous avons eu la chance d’avoir une partenaire qui a su participer, notre musique nous prend tellement de temps que nous n’avons pas beaucoup l’occasion de trouver des jeunes femmes aussi belles et efficaces que Katia.
• Mais que faite vous dans cette cabine insonorisée alors que vous pourriez continuer de vous amuser avec elle !
• Es-tu musicienne Christine ?
• Non, je n’ai même pas l’oreille musicale.
• Excuse-nous, tu ne peux pas comprendre, nous avons trouvé autant de plaisir à jouer avec Katia, que de lui enlever son hymen ou de la sodomiser.
• Katia, tu t’es fait prendre par le vagin et l’anus !
• J’avais vu des films pornos où les filles se laissaient faire comme ça, je pensais que c’était normal.

Je biaise, en posant cette question, j’évite de leur faire voir que j’ai tout vu grâce aux caméras qui doivent nous enregistrer en ce moment.


• C’est bien, tes partenaires dans le futur apprécieront que tu leur offres ce plaisir, rare sont les femmes qui le fond avec leurs maris alors que les trois quarts en rêve.
• Tu sais, je crois que le mariage pour moi, il ne faut pas que tu y compte, je vais suivre tes traces, fini les études, je vais faire partie de votre organisation et gagner ma vie comme toi.
• Sûrement pas, j’ai promis à Lison que tu venais à Paris pour tes études, nous regarderons pour que tu travailles pendant tes vacances.
• Christine, nous avons une requête à te faire.
• Dites toujours !
• Demain soir, nous avons un concert au stade de Saint-Pétersbourg, nous aurions aimé emmener Katia pour qu’elle monte sur scène, elle joue très bien de la guitare base et ça valorise notre tour de chant, nous aurons plus de 50 000 spectateurs et nous pourrons passer plus de temps avec elle.
Si nous demandons à Igor, il va pouvoir obtenir ses autorisations de circulation.
• Et pour moi, il est hors de question qu’elle parte seule, j’ai déjà perdu Ophélie, impossible que deux de mes filles disparaissent.
• Ophélie a disparu !
• Elle est partie avec Miroslav en laissant un mot de ne pas nous inquiéter, ils sont allés régler un problème d’informatique à sa société.
• Sois rassurée, c’est un garçon sérieux.
• Je le conçois, Igor me l’a dit aussi, il n’empêche que je serais rassurée quand j’entendrai le son de sa voix.
• De plus, après le concert, nous pourrons passer la nuit avec elle avant de la ramener vers un aéroport pour Paris.
• De nous ramener, mais sans oublier de nous rémunérer ?
• Pour la nuit que nous passerons ensemble.
• Exact, vous avez payé pour avoir ses pucelages, ils vous ont été donnés, Katia, je défends tes intérêts, combien nous donnez-vous pour cette nuit à Saint Pétersbourg ?
• Tu serais à nous Christine ?
• Deux putes, deux clients, qu’en penses-tu Katia.
• Voir ces garçons te faire l’amour alors que moi aussi, je participerais, j’en rêve depuis que nous avons passé la soirée dans la maison d’Ophélie sur les hauteurs de Saint-Palais sur mer.

Tu te souviens, j’avais des règles douloureuses et vous m’avez couchée, je me suis réveillée pour aller aux toilettes, je vous ai vu dans les bras l’une l’autre et le plaisir que vous avez pris.
Je me suis juré qu’un jour ce serait moi qui serais à sa place, mais pour le moment, j’ai rempli ma part de contrat pour ce soir, demain et la soirée à Saint-Pétersbourg, il va vous falloir ouvrir votre porte-monnaie.
Je suis venue de Paris pour que des hommes payent pour mon pucelage, vous m’avez baisé et sodomisé, je vous en remercie, mais dès demain, si vous souhaitez continuer à profiter de moi, il va falloir me donner de quoi payer mes études.
• Les garçons, faisons un rapide calcul, comptons en euros, en France une place de concert dans un stade comme celui ou vous allez jouer, exemple le Stade de France serait de 80 €.
Vous multipliez par 50 000 billets soit si je me souviens du calcul mental que je faisais à Paris et où j’étais particulièrement douée, nous avons un total de 4 000 000 €, je vous conçois que la vie ici est plus dure que chez nous, comptons les places à 60 €, suis-je dans le vrai ?
• Nous devons reconnaître que tu comptes relativement vite, mais bien.
• On est d’accord, continuons, 3 millions d’euros, un tiers pour la location du matériel exemple scène et sono, un tiers pour le producteur, je suis toujours dans le vrai.
• On peut dire exact.
• Ce producteur, ce serait Igor que je suis sûr de ne pas me tromper, ils vous restent un tiers soit 1 million d’euros, la moitié et nous sommes à vous dès maintenant.
Je pense qu’Igor a prévu une soirée ce soir dans ces locaux, sinon je vais lui suggérer d'en improviser une et ce demi-million fera partie du contrat.

Je vois les deux garçons se concerter du regard.

• Tu es démoniaque Christine, mais nous acceptons, si tu avais été dans les enchères, nous aurions proposé de passer la soirée avec vous deux, la pucelle et la pute de haut luxe.
Ne prends pas mal nos propos, tu respires le sexe par tous les pores de ta peau.
• Les garçons, laissez le lit un moment, asseyez-vous, nous allons vous montrer comment deux femmes peuvent s’aimer, Katia, je viens de dire deux femmes.
Viens le déshabiller, je n’aurais pas attendu longtemps pour me retrouver à nouveau nue…

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